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2024
(France Loisirs)

Grand format
(éd. De Borée)

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Grands caractères
(éd. Gabelire)

Comme une brise d'été

Les exploits sportifs passés d’Alice sont-ils le seul motif qui pousse Lina, jeune journaliste, à venir l’interviewer ?

Alice, ancienne institutrice ayant gravi tous les sommets de plus de 4000 mètres des Alpes françaises, vit recluse avec son mari dans un petit village de haute Maurienne. Lina Derrien vient un jour la trouver pour lui consacrer un article dans un magazine de montagne. Au fil de leurs entretiens, l’alpiniste chevronnée s’aperçoit que la journaliste semble plus intéressée par ses origines familiales que par ses exploits en altitude. Mais Alice n’est pas femme à se raconter si facilement, d’autant plus qu’elle préfère ne pas lever le voile sur certains passages douloureux de son existence…

Haute Maurienne 

Bretagne

Livre d'or

 

J'ai lu "Comme une brise d'été" d'Alain Pyre, éditions De Borée... et je vous le recommande vivement !

Si lire un livre était comparable à passer une après-midi en bord de mer, il y aurait ces livres qu'on lit comme si on se laisser dorer au soleil sans rien faire, en dormant à moitié... et il y a les autres, ceux qui ressemblent à une après-midi ébouriffante, à s'immerger de la pointe des pieds à la racine des cheveux, à vivre mille sensations en quelques heures, à se réjouir d'être vivant et à le ressentir jusqu'au fond des tripes...

"Comme une brise d'été" est de ceux-là.

Alice est un personnage presque sans histoire. Ok, elle a gravi tous les sommets de plus de 4000 métres, et moi je ne le ferai jamais. Et elle est probablament la première femme à l'avoir accompli, mais elle ne l'a pas vraiemnt fait pour elle-même : elle accompagnait simplement son homme dans ses apprentissages de guide de haute montagne, c'est tout... Alors elle reste très humble.

Est-ce vraiment tout ?

Envoyée par un magazine pour un reportage sur cette femme unique face à la montagne, Lina se pose beaucoup plus de questions, et voudrait élargir son article à la vie de cette femme, sur d'autres époques à travers le temps, son enfance, sa jeunesse, les circonstances qu'elle a pu traverser, qui l'auront emmenée de la Bretagne à la Savoie...

La relation entre ces deux femmes s'approfondit et les récits d'Alice se font de plus en plus touchants.

La suite, je ne vous en dit rien, à vous de vous immerger dans le récit exceptionnel fait par Alain Pyre dans son roman.

Avec ce petit supplément d'âme, distillé ici et là, dans son talent à vous plonger dans les ambiances des lieux et des relations, avec un choix de vocabulaire, des tournures de phrases, tout est parfait et précis. Tout est coloré, chatoyant, vivant, on est saisi par les couleurs de la montagne, comme par les reflets des émotions dans les yeux des protagonistes. On est tendus dans leurs attentes, tristes ou joyeux avec eux, émerveillés de ce qui les émerveille... et abattus de ce qui les abat : tout est nôtre dans ce roman qui ne laisse pas insensible.

Une plongée en pleine mer (!) parfois en apnée, toujours avec le coeur qui bat.

Alain Pyre a gagné une lectrice ! Que dis-je ! Une ? Moi, c'est certain, ... mais ouvrez son roman, et aucun d'entre vous n'en sortira pas comme il y était entré !

NOTA: j'avais fait ma maline, dans les trente premières pages, j'avais tout compris de l'intrigue -soi disant !-. Ben non! On se laisse prendre au piège, on "devine", mais on se trompe... La surprise vous retient jusqu'aux dernières pages.

bonne lecture !

   Claire Burel (02/04/2025)

* * *

Bonjour Alain,

 

Le week-end dernier, j’ai emmené des amis sur le chemin du Petit Bonheur que je parcours très souvent, jusqu’à Chantelouve d’en haut, hameau que j’ai eu envie de peindre. Ce que j’ai fait les deux jours suivants.

En descendant à Modane, je suis passé à la librairie « histoire de lire » qui m’avait mis de côté ton dernier roman, ouvrage que j’attendais avec impatience de parcourir, curieux de voir le regard que tu portais sur cette vallée dans laquelle j’ai planté mes racines, il y a plus de quarante ans.

J’aime bien ta couverture, très représentative de cette haute Maurienne, à la fois rude et douce, simple, nature et sans artifices. Ces lourdes lauses, clouées sur les charpentes, résistant à tout, protectrices des hommes et des âmes, très représentatives de ce petit hameau de l’Écot.

Un premier chapitre pour poser le décor, rentrer dans l’histoire et faire les présentations de ces quatre personnes qui vont vite devenir des compagnons de vie et nous entraîneront avec eux sur les chemins de l’Histoire, d’un bout à l’autre de la France.

J’ai reconnu chacun de ces chemins, de ces sommets, de ses lacs, troublé de suivre des personnages fictifs, rendus terriblement vivants, sur des terres qui sont devenues les miennes.

J’ai apprécié la fidélité de tes descriptions, de tes parcours. J’ai reconnu l’acuité et la poésie de ton œil de photographe, ta vision sensible et profonde du regard que tu portes sur nos semblables.

Je sais que tu as fait un gros travail de recherche en amont, et que tu as du beaucoup randonné dans cette vallée et tout autour. 

Tu aurais pu tricher, caricaturer ou déformer la réalité de cette région et des gens qui y vivent. Tu ne l’as pas fait, il n’y a aucun doute là-dessus.

C’est ce qui m’a permis de me lâcher, de suivre ton récit, sans appréhension ni jugement, de poser mes pas dans les traces des tiens et de ceux de Lina, Alice, Loïc et Félix.

J’ai connu un Félix à Bonneval, qui lui ressemble étrangement.

Je te suis reconnaissant de ta sensibilité et de ta sincérité.

Tu as mis ton écriture au service de tout cela en y ajoutant de la proximité, de la maturité et beaucoup d’élégance.

Une dernière chose, importante à mes yeux : Il y a deux personnages majeurs supplémentaires dans ce roman, qui prennent parfois le pas sur les héros du récit. 

D’abord la nature, riche à elle seule de toutes les émotions, véritable mère de nous tous, consolatrice première de nos peines et témoin privilégié de nos joies. J’ai toujours trouvé que cette vallée avait la forme de deux mains jointes, ouvertes vers le ciel, rondes et accueillantes comme un berceau.

L’autre acteur de ce livre est celui qui l’a imaginé et créé, qui a donné vie à ces « characters », comme disent les Anglo-saxons, celui qui leur a donné ses propres émotions, ses propres expériences de vie, et qui s’y est attaché très probablement.

 

Je me suis efforcé de ne pas le lire d’un seul coup, pour mieux le savourer, ne pas le finir trop rapidement. J’ai relu des passages, des descriptions, comme les premiers souvenirs d’une belle expérience.

 

Ci-joint la photo de l’aquarelle évoquée plus haut.

 

Bien amicalement à toi,

 

   Vincent Lecarme (09/07/2023)

​* * *

Bonjour, Alain.

Je viens de terminer ton dernier roman « Comme une brise d’été. » Fascinant… Merveilleux récit ! Les quatre personnages sont attachants, je dirais comme si je les avais connus… L’intrigue m’a portée en haleine jusqu’à la fin du livre, et c’est avec nostalgie que j’ai quitté Alice, Lina, Loïc et Félix, « Le montagnard qui m’a bouleversé et émerveillé »… Ils m’étaient devenus si familiers durant tout le récit ! J’ai parcouru les montagnes également grâce à ta plume limpide et tes descriptions fabuleuses dans des lieux superbes. Le dénouement a été un soulagement et une belle leçon de vie. Merci !

   Anne-Marie Suavet (15/10/2023)

​* * *

Quelle belle histoire pleine de rebondissements qui vous tient en haleine de la première à la dernière page ! Tellement d’amour qui s’en dégage, de respect et de pardon ! Bravo pour ce nouveau roman.

   Christine Catty (21/05/2023)

* * *

Très belle littérature poignante !

Avec son exquise écriture, Alain Pyre allie suspens, évasion, générosité, amitié et amour, et manie avec dextérité les évènements de deux époques, tout au long de l’intrigue. Un magnifique récit qui m’a entraînée, en compagnie de personnages attachants, dans une myriade d’émotions et qui m’a fait voyager, à travers de magnifiques descriptions, dans deux splendides régions que rien ne relie, si ce n’est l’histoire de l’héroïne, la Maurienne et la Bretagne. Très beau roman touchant, plein d’espérance, qui m’a soutiré quelques larmes ! Merci pour cette splendide narration.

   Catherine Cormontagne (04/06/2023)

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Quelques photos illustrant les décors du roman

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